Oui mais, il est obligatoire de recueillir au préalable le consentement de votre conjoint non divorcé. En effet, le logement de la famille bénéficie d’une protection particulière (art. 215 al. 3 C. civ.), même si les deux époux n’y cohabitent plus et qu’il appartient à un seul d’entre eux, et ce tant que le divorce n’est pas devenu définitif.
A défaut, l’époux/se qui n’aurait pas donné son accord à la vente pourrait demander l’annulation de l’acte (art. 215, al. 3 C. civ.).