De manière générale, lorsque le défunt était propriétaire d’un bien immobilier, la valeur à retenir pour la déclaration de succession est sa valeur vénale au jour du décès (art. 761 al. 1e CGI et BOI-ENR-DMTG-10-40-20 §20). Il s’agit de la valeur qui en serait obtenue si ce bien était mis en vente à une période proche du décès, diminuée d’un abattement de 20% s’il constituait la résidence principale du défunt et du conjoint survivant (art. 764 bis CGI).
C’est également cette règle s’applique lorsque le bien est situé à l’étranger (BOI-ENR-DMTG-10-40-10-10 §180).